Eh la danseuse, à ta santé ...
Sans-t'éther-niqués
Santé terne alitée
Les Enfants-Sag's ont consumé
Les rêv's part'âge pas-ternis-thés.
Que reste-t'il donc des mirages ?
Les alcoolos comm' les bossus
Sonneurs de cloches éperdus
D'Amour aveugle pour les leurres
Lucid's amer envers eux-même
Ils boivent-merdes et contemplent'heures
Les heur-eux et les pleurs, et les fleurs et la Mer
M'enfin bon, sont-ils un peu grognons
Un peu trop gnons d'p'Hommes poison ?
Mais pinard est un bien bon nectar
Quand Soleils se tissent de cafards.
Grands Beaux Poètes, et leurs maux
Raviront les danseuz', leurs sangs-grelots
Pour les bossus et les vaux - rien, que reste t'il ?
Ahahah, ce cabri malicieux, ses fleurs, et tout'leur île.
JACk-sCEPTikE
Euuh ? Ah bah oui !
Lundi 22 juillet 2013 à 14:23