JACk-sCEPTikE

Euuh ? Ah bah oui !

Lundi 29 juillet 2013 à 5:54



O
O
m̐Oa
zm̐m̐Oa
m̐zam̐Om̐aa
m̐aam̐Om̐az
m̐am̐Oz
aOm̐
m̐O
O


Dimanche 28 juillet 2013 à 18:28

 J'ai été croc-mes-chants
        Trop zizouter ça s'entend
Les z'agités, pas les n'enfants
        Pieds au cul rend' pleurant



Retour en avant, quelqu'à'l'arme, violeur
    Allez Lavande, un sourir' du voleur.


Quand le Roi des Enfants
L'est si-chiant, l'est méh!-chant
M'a biflé, tout tout joyeux, en jou(e)-(gl)and
QU'il agite, en a(r)(i)me, So Brillant, Triomph'éléphant
Ca trompe, ça se trompe, conform'et'normément.

n'Enfants-Roi pleureront c'est comme ça
D'avoir voulu aimer trop à la fois
Ils s'y cassent des dents de lait zoo cabris
Vahinés et vani-thés... Le surin dans l'Ami

A vouloir trop montrer mes couilles
    Ell's ont failli s'en aller
Agite trop l'arsouille
    Il chantera blessé

PS (Si j'avais à écrire un bouquin, je crois que je l'apell'rai "Candide 2")

Jeudi 25 juillet 2013 à 23:51

Quand la peine se fait
Quand la couleur éclate
Quand danseurs valsent en choeurs

De + en + FORTE, de + en + INTENSE

De + en + forte, de + en + intense
Triangle(s) ou rondes, autour du monde

Ell' se transforme en Haine

Elle se fait Amour
Mal-Amour, Ethernels tous, Peau-Haine
                      Ils résonnent


Et la hain' change le monde

Et l'Amour change le monde

IL NE RESTE QUE DES HOMMES.




PS : "l'existence précède l'essence"

Mardi 23 juillet 2013 à 2:08

Bon eh, hein ! Pas de moqueries s'il vous plaît !!
Ouais ok, j'aime bien me moquer, mais c'est pour réfléchir un peu.
Ceci dit, en toute humilité : je commence à peine à réaliser ce que peut vouloir dire réfléchir.

J'ai eu une longue journée.
Pour être honnête, j'ai pas très bien travaillé.

Me suis noyé dans un tas de branlettes intellectuelles et en aies presqu'oublié mon vrai travail ; mes études.
Ceci dit, une chose que je me suis dite en entamant ma vie de cet été ; les lundis c'est week-end... Pour me justifier ? Je sais pas, je suis si fatigué... (z'avez vu l'heure ?)

J'ai beaucoup discuté aussi ce soir, avec une bonne aimée qui peu à peu s'évanouit pour laisser place à l'amie.
J'ai un peu peur, car j'ai promis à quelqu'un qui m'est cher (oooh qu'il m'est CHER (chéri chéri : trésor enfoui ^^ Où ? Là-bas sous les coccottiers... Africa...), bien plus qu'il ne le pense ^^) que je me lèverai tôt demain. Seulement j'avais pas prévu qu'une amie douterait de moi. Chose qui me fait mal, alors j'ai préféré rester lui parler un peu, plutôt que d'aller me reposer.

C'est pourquoi je ne suis pas sûr, ce matin, de m'être levé à l'heure que j'aurai souhaitée.
Mais je suis sûr que la personne a qui j'ai "promis" comprendra, que je suis un être un peu compliqué. Imprévisible ? Non, pas quand on sait lui parler.
C'est rigolo, comme ce Moi qui écrit a hâte d'être demain, parce que ce Moi de ce soir est serein du Moi qu'il a été aujourd'hui.

Je suis content car, bouclant cet article, je vais pouvoir me reposer.
Une drôle de coïncidence : la musique qui passe à l'heure actuelle : "Barbara, l'aigle noir".
Deuxième coïcidence : la musique qui passe alors que je m'apprête à boucler cet article : "Et si tu n'existais pas" - Joe Dassin)
Je suis content car je vais pouvoir être, pour une nuit, faiseur de pluie, je suis confiant, car demain matin je vais voir mes parents.


PS : "quand soudain, surgissant de nulle part, il surgit l'aigle noir" : "mon bonheur c'est de vous voir heureux".
PS2 : "Avec des "si", on mettrait Paris dans une bouteille". Chantons ?
PSX : Aimez-vous les échecs ?

Lundi 22 juillet 2013 à 14:23

Eh la danseuse, à ta santé ...
    Sans-t'éther-niqués
        Santé terne alitée
            Les Enfants-Sag's ont consumé
                Les rêv's part'âge pas-ternis-thés.
                    Que reste-t'il donc des mirages ?

Les alcoolos comm' les bossus
    Sonneurs de cloches éperdus
        D'Amour aveugle pour les leurres
            Lucid's amer envers eux-même
                Ils boivent-merdes et contemplent'heures
                    Les heur-eux et les pleurs, et les fleurs et la Mer

M'enfin bon, sont-ils un peu grognons
    Un peu trop gnons d'p'Hommes poison ?
        Mais pinard est un bien bon nectar
            Quand Soleils se tissent de cafards.
            Grands Beaux Poètes, et leurs maux
        Raviront les danseuz', leurs sangs-grelots
    Pour les bossus et les vaux - rien, que reste t'il ?
Ahahah, ce cabri malicieux, ses fleurs, et tout'leur île.

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